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“You know you're in love when you can't fall asleep because reality is finally better than your dreams.”

“You know you're in love when you can't fall asleep because reality is finally better than your dreams.”
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13 mars 2016

La faiblesse est ma force, comme ton amour et mon raison de vivre.

Source: Externe

« Bonjour mon coeur, comment vas-tu ? » Elle le regarda droit dans les yeux, les joues rosâtres, et les poings si serrés qu'elle se marqua les mains de ses ongles. « Non ça va pas. Il n'y a rien qui aille. Rien. Vraiment. Rien qui me fasse rire ou sourire, rien qui me donne envie de me lever le matin si ce n'est pouvoir te parler. Je veux juste pouvoir m'endormir et me réveiller dans monde meilleur, où la peine la mort et la stupidité humaine ne seront plus. Je veux pouvoir vivre avec toi jusqu'à la fin de mes jours sans avoir à pleurer chaque jour que Dieu fait parce que je me trouve moche, pas assez bien à tes yeux, soit trop grosse, trop petite, pas assez bien fournie, pas assez drôle ou chiante. » Il voulut la prendre dans ses bras mais elle fit un pas en arrière, le regard rempli de larmes, le coeur noué. Pointant le bout de son doigt au niveau de sa poitrine dévoilant ainsi son coeur. « Et tu joues avec ça. Avec ce qui me maintient en vie, ce qui me fait me sentir vivante. Tu l'affaiblis, tu le ronges pire qu'une maladie incurable qui me tuerait à petit feu. Tu es bien plus efficace que toutes les dépressions possibles. Je me sens nulle. Inachevée. Comme si quelque chose en moi n'avait pas eu le temps de se concrétiser, et que je devrais morfler le reste de ma vie à cause de cette "chose".  » Elle fit une fois de plus un pas en arrière et vint essuyer son oeil larmoyant, étalant par la même occasion son mascara sur la partie gauche de son visage. Il se tenait devant elle, le regard vide, presque meurtri. Ne se doutait-il pas du mal qu'il pouvait lui faire ? Ne réfléchissait-il pas au poids des mots qu'il utilisait envers elle ? Sombre idiot. N'as-tu donc pas vu la peine qui grandissait en son sein ? Mais aucun mot n'arrivait à sortir, comme s'il attendait simplement la suite des accusations, comme si tout ceci était une évidence et qu'il s'y attendait au fond de lui. « Mais je dois te remercier. Grâce à toi j'ai grandi, je suis devenue quelqu'un avec un plus fort caractère. Même si cela ne fonctionne pas avec toi, je peux m'en sortir seule désormais. Mon coeur s'est endurci, même si je pleure toujours devant une fleur fanée trop rapidement. Je suis désolée d'être ainsi. D'aimer recevoir des cadeaux, tout comme j'aime en offrir. Désolée d'être susceptible, de prendre tout à la mouche sans me rendre compte que tu rigoles juste. » Elle baissa la tête et renifla vulgairement, la voix tremblotante et les yeux couleur carmin. Elle tomba à terre et on pu alors entendre ses genoux cogner contre le béton. Quant à lui, il se tenait droit devant elle les bras tendus le long de son corps, inerte. C'était comme s'il avait reçu un coup de poignard en plein coeur, et qu'on avait continué à lui infliger de multiples entailles à la suite, sans s'arrêter. Chaque reproche était comme une déchirure qu'on lui avait infligé aussi bien physiquement que mentalement. Les mots ont un énorme pouvoir, les peser est important. Il cligna lentement des yeux l'air épuisé, et s'avança vers elle. Il ne lui tendit pas la main, et garda la tête baissée en direction du sol, et de ses genoux ensanglantés. L'homme se pencha très lentement et finit par épouser la forme de son corps en la serrant fort contre elle. On pouvait entendre leurs souffles en parfaite harmonie, la tête de la jeune fille collée à sa poitrine ressentant exactement chaque battement de coeur. « Entends-tu donc ? Chaque battement est une seconde de perdue à tes côtés. » Prenant sa manche entre ses doigts elle essuya ses yeux et son nez par la même occasion, redressant sa tête pour se retrouver face à face avec son menton. Apercevant entre deux clignements une larme qui perlait le long de sa joue. « Je suis désolé. » Mais elle ne voulait pas d'excuse. Elle s'en fichait littéralement. Tout ce qu'elle désirait à cet instant là c'était du calme, sentir son corps vivre sous ses doigts, se rapprocher de lui, ne faire qu'un avec lui. En parfaite harmonie. Tout en silence. « Pardonne mes erreurs et mes dérapages. » Disait-il entre deux halètements. « Je veux juste faire de toi quelqu'un de fort, capable de se débrouiller seule dans la vie, sans avoir besoin de l'aide de personne. Je veux que tu sois comme tu es, comme tu as l'habitude d'être, mais avec un plus de force. Que tes faiblesses deviennent tes atouts. Que tu t'en serve comme arme, comme outils de défense. » Plaquant sa main contre le visage de sa bien aimée, il soupira longuement et embrassa son front. « Je t'aime. J'aime tes imperfections, et j'aime ta susceptibilité maladive, tes yeux qui pleurent devant un film à l'eau de rose, tes joues qui se gonflent quand je me moque gentiment de toi et que tu me boudes. J'adore ton visage et les traits de ton corps tout entier. Je pourrais passer des heures à contempler chaque partie de ton corps jusqu'à les connaître sur le bout des doigts. » Resserrant son etreinte, la jeune fille ne reteint alors plus ses larmes et relâcha tout. Libérée. « Je veux te couvrir de cadeaux jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien sur terre que tu n'aies pas. Je veux te voir sourire et rire jusqu'à en avoir mal au ventre. Je veux te voir bouger et danser comme une folle durant des heures sans te soucier du ridicule, parce que tu ne sais pas danser, mais que tu restes la plus belle des créatures à ce moment-là. Je veux que tu sois là à mes côtés et contre moi quand je m'endors mais également que tu sois le rayon de soleil de mes matins. Je veux que tu sois mon alter-ego. Mon double. Toi. » Il se mit à genoux devant elle et sécha ses larmes avant, dans un dernier sourire, de l'embrasser tout en prenant soin de déposer ses mains sur ses joues. Leurs corps collés l'un à l'autre. Le souffle coupé. « Je t'aime. »

 

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22 novembre 2014

A little f*cking storm.

Source: Externe

Je me demande juste à quoi je peux bien servir si je ne suis même pas capable de deviner si les personnes que j'aime le plus au monde ne vont pas bien, qu'on m'explique, je ne demande que ça. Comment être utile pour les gens que l'on chérie si nous ne somment même pas capable de déchiffrer leur mal être sans qu'ils n'ouvrent la bouche. Je ne sais même pas penser, être si proche et me sentir nulle de savoir qu'ils ne viennent pas vers vous pour discuter, alors que vous êtes, selon vous une personne particulièrement importante. MERDE. Je suis là aussi. Et oui j'ai moi aussi la capacité comme une autre à écouter et savoir apaiser une personne et je pense même que c'est mon futur métier da hell. Comment on peut passer à côté de ça ? D'une amie ou bien même de sa propre petite amie. Arrêtez vos mensonges, arrêtez de me mentir et dites clairement les choses telles qu'elles le sont réellement. Je me sens vide et inutile sans aucun intérêt particulier sauf peut-être pour rire et laissez-moi encore ici en douter. Que suis-je censée penser de tout cela. De tout ce qui se passe derrière mon dos et de toutes ces choses que je loupe alors que je pense être une personne de confiance, mais surtout votre amie ou bien plus.

 

Désolée de ne pas être parfaite et ne pas être une bonne oreille toute la journée, de ne pas être la nana parfaite qui donne des conseils comme si elle connaissait la vie sur le bout des doigts. Désolée de ne pas être cette fille toujours souriante qui arrive à savoir si tu ne vas pas bien ou non en un seul regard ou message, je ne suis pas devin vous m'en excuserez. Je ne suis pas parfaite, pas celle qui arrive à savoir tout de tout le monde en un rien de temps sans qu'une parole ne se fasse entendre. Désolée. Non je ne suis pas cette fille qui vous aide même si elle a des problèmes .. oh wait et bien si en fait, je suis cette nana là. Celle qui même en sang se plierez en des milliards de morceaux pour vous. Désolée de ne pas être mieux.

18 novembre 2014

But I'm not alive until you call

Selena Gomez - The Heart Wants What It Wants (Official Video)

Désolée de ne pas être le petit bout de femme sur qui tu peux compter n'importe quand, je flanche plus souvent que je ne voudrais le faire. Et je m'excuse pour tous ces moments de pure faiblesse que je te fais endurer, tous ces moments ou mon visage devient horrible à regarder, ou mes yeux triple de volume à cause des pleurs répétés. Je voudrais simplement que tu saches à quel point je t'aime, à quel point je pourrais faire des choses complètement stupides si tu me le demandais avec ton sourire charmeur et ton regard bleu azur. Merci pour tout ce que tu m'apportes. Même si on passe un temps énorme à se blesser involontairement, même si nos mots ont parfois l'effet d'un coup de couteau et mes larmes goût amer je veux que tu saches que ce ne sont pas ces innombrables disputes qui ferait s'amoindrir l'amour que mon coeur te porte. Je t'aime idiot. Je t'aime malgré ces moments à pleurer comme une gamine à qui ont brise son jouet favoris. Je t'aime malgré ces moments à me demander si notre amour vaut vraiment la peine d'être vécus. Je t'aime malgré tout. Malgré moi.

 

When I was on, I was on stage
And I was thinking of..
I felt like I know
I know him though
And I know his heart
And I know what he wouldn't do to hurt me
But I didn't realize that
Feeling so confident, feeling so great about myself
And then it just be completely shattered
By one thing, by something so stupid
But then you make me feel crazy
You make me feel like it's my fault
I was in pain

5 novembre 2014

Let me love u, like i love you.

Source: Externe

Je n'ai jamais été parfaite, et à vrai dire je crois que j'ai renoncé à essayer de le devenir. On m'a trop souvent répété que la perfection n'existait pas, qu'elle n'était présente que dans les comptes de fait et qu'elle réussissait toujours à vaincre peut importe le défis face à elle. Mais moi je l'ai trouvé dans ton regard, dans ton rire qui ne ressemble à aucun autre je crois que c'est ce qui me plaît le plus chez toi. Sans compter ton incroyable franchise qui pourrait bien te perdre dans certain moment j'en ai bien peur. Et puis je dois avouer que me noyer dans tes yeux bleus océan reste une chose qui me surprend de jour en jour, c'est tellement agréable de s'évader en un seul regard et essayer à travers ce dernier de déchiffrer ton âme, essayer d'y voir ce que tu ressens à ton tour quand tu me regardes. Ce sentiment de sécurité qui m’envahis lorsque tu refermes ton emprise sur moi, cette chaleur qui me prend les os quand tes lèvres se posent délicatement sur mon front. Que dire de plus que tu es la personne avec qui les mots ne veulent rien dire, pas besoin de parler, juste de se regarder même si je dois avouer que par la simple pensée nous arrivons à nous comprendre. Tu es quelqu'un de fabuleux et je voudrais que tu n'en doutes jamais, tu feras de grandes choses avec ou sans moi j'en suis persuadée, et mon rêve serait que n’aie pas besoin que je te le dise pour y croire. Ça me tue que tu ne vois pas à quel point tu es talentueux et que tu as tout pour toi. C'est si difficile que ça de penser rien qu'un instant que nous ne sommes pas nul ? Que nous avons un quelconque potentiel et que ce dernier attends bien sagement d'être mis à profil ? Bordel, je t'en supplie ouvre et tes yeux et vois comme je t'aime, vois comme je suis derrière toi à te pousser toujours plus loin à t'accompagner dans tout tes choix peut importe ou tu iras j'irais. Crois en toi comme tu a réussis à croire en moi, comme tu as réussis à me pousser à ne pas me laisser tomber, à toujours essayer de me relever malgré les échecs et tous ces moments à pleurer jusqu'à en être aveugler. Je sais que l'amour ne se commande pas, que c'est une chose qui est propre à nous même impossible à dompter. Mais je ne te supplierais jamais assez de ne pas me quitter, de ne pas partir comme un voleur en laissant mon cœur pour mort. Tu ne sais pas à quel point ton absence est un feu qui me consume lentement, mais sûrement tout doucement de jour en jour, jusqu'à que je croise ton sourire au détour d'un regard, que tes doigts s'enlacent entre les miens ou qu'ils s’entremêlent à mes cheveux. Et je tenais à m'excuser d'être parfois désagréable, voir même littéralement « chiante » et « invivable ». Mais il faut tout d'abord comprendre que je n'ai jamais eu de relation facile avec mes autres compagnons, pour le peu qu'il y en ai eu ça s'est particulièrement mal passé à chaque fois. J'ai déjà été trompé, et abusé à de nombreuses reprises, je sais que ça peut t'ennuyer que je sois toujours sur ton dos, mais dis toi que ce n'est pas de ma faute, que les erreurs qui ont étaient commises dans le passé on fait de moi ce que je suis désormais. Je ne supporte pas qu'elles te parlent, ces morceaux de chair nettement mieux former que moi, nettement plus « tout » que moi tout bien réfléchi. J'ai tout simplement peur à tout moment de te perdre, je ne cesse de me répéter qu'à tout moment tu pourrais filer entre mes doigts et t'éloigner à jamais de moi. Excuse-moi encore de ne pas être la demoiselle parfaite qui prend soin d'elle tout les jours, ni la demoiselle des dessins animés qui est une véritable princesse sans aucun défaut toujours plus cultivé et intelligente que toutes les autres filles qui gravitent autour d'elle.

 

Mais je pense que la seule chose que tu devrais retenir de tout ce charabia que tu connais déjà par cœur. C'est que je t'aime toi et pas un autre.

5 octobre 2014

Ne t'ais-tu jamais senti seul ? Le coeur lourd pleins de choses qui ne veulent pas sortir ?

Source: Externe

C'est dingue ce sentiment d'abandon qui se faufile dans vos veines, peut vous ronger de l'intérieur comme un petit feu aurait détruit une forêt à lui seul en grandissant lentement mais sûrement. On pense pouvoir faire confiance à ceux qui nous entourent, à ceux à qui on dévoile nos pires secrets mais surtout nos peurs les plus envahissantes. Ils vous connaissent mieux que quiconque, et c'est pour ça que vous êtes là dès qu'ils ont besoin de vous ou du moins lorsque vous pensez qu'ils ont besoin de vous. Mais en être humain frêle et chétif que vous êtes, vous pensez qu'ils seront là en retour pour vous aider. Qu'ils vous aideront à surmonter cette fameuse épreuve comme vous les avez aidés à ne pas sombrer dans le désespoir il y a à peine quelques jours. Mais non. Ils se foutent complètement de vous, ils voient vos messages et vos appels à l'aide mais personne ne bronche. Comme si vous étiez un courant d'air qui venait gêner leur petite tranquillité. Personne ne s'occupe de vous. Vos appels à l'aide résonnent dans votre tête à vous en donnez mal au crâne, à vous taper la tête contre les murs pour faire cesser ses saloperies de voies. Mais rien n'y fait, elles persistent. Elles vont vous tuer à petit feu. L'oubli vous ronge de l'intérieur. Ce n'est pas une maladie, c'est une bien triste fatalité. Être là pour des personnes qui vous sont chers, vous donnez corps et âmes à eux, en oublier presque que vous aussi vous allez mal, sans jamais rien avoir en retour. Attendre un message ou bien-même un simple "coucou". Mais rien. Vous n'existez pas. Vous n'êtes rien qu'une image, qu'une personne à qui l'on veut parler lorsqu'on va mal parce qu'ils savent pertinemment que vous sauriez là quand ils en ont auront besoin sans se préoccuper de votre état mental à vous. C'est la triste réalité. C'est une putain de douche froide. Ses gens qui voient vos messages, ses gens qui ne prennent même pas le temps d'y répondre. C'est triste. Sachez qu'un jour viendra ou personne ne sera plus là pour vous, que cette frêle chose aura prit son envol et qu'elle pourra se débrouiller par ses propres moyens sans l'aide de personne. Ce jour viendra lentement, mais il viendra.

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